La Ville de Nantes a choisi le logiciel Aiden pour déployer des téléservices d’aides en fonctionnement et en investissement à destination des associations. A travers le témoignage de Myriam Drugeon, chargée de la stratégie des financements, découvrez les points forts du logiciel Aiden.
Retour d'expérience de Myriam Drugeon de la Ville de Nantes
Découvrez le témoignage de témoignage de Myriam Drugeon, chargée de la stratégie des financements à la ville de Nantes.
Pouvez-vous vous présenter ?
Bonjour, je suis Myriam Drugeon, je suis chargée de la stratégie des financements à la ville de Nantes.
Parlez-nous du déploiement des aides et subventions à la Ville de Nantes
La ville de Nantes octroie des subventions aux associations, que ce soit du fonctionnement, des appels à projets, de l’investissement et également des subventions pour des actions précises sur différentes thématiques.
Parlez-nous du projet de transformation numérique à la ville de Nantes
Nous avons fait le choix de revoir la manière dont on gère les subventions à la ville de Nantes, Nantes Métropole et également le centre communal d’action sociale de la ville. Sur une nouvelle stratégie des demandes de subvention qui va s’appuyer sur trois piliers donc : le logiciel Aiden, un guide de procédure et également sur le fond des dossiers une grille d’analyse sur la base de l’utilité sociale des associations.
Quelles fonctionnalités du logiciel Aiden vous plaisent ?
Les fonctionnalités qui nous ont séduites c’est déjà sur le logiciel en lui-même : il y a une possibilité pour les associations de déposer leur demande en ligne donc avec le Front Office. Ça permet aussi de suivre en temps et en heure les demandes des associations que ce soit côté agent ou côté bénéficiaire.
Quels avantages à choisir le logiciel Aiden ?
Alors honnêtement c’est l’ergonomie générale ; le fait de ne plus mettre pourcentage le mot plus pourcentage c’est vraiment quelque chose qui nous a séduit ! C’est vraiment rentrer dans la modernité. On attend une simplification donc pour la gestion des subventions que ce soit du côté des agents ou du côté des associations. Que ça soit aussi plus d’efficience pour les agents. Ça va permettre de dégager plus de temps pour donc faire des tableaux de bord et avoir une vision globale des subventions accordées aux associations.
Quel conseil à donner à un collectivité non équipée du logiciel Aiden ?
Je lui dirais de prendre le temps de faire un benchmarking auprès des collectivités qui le font déjà et de vraiment se mettre en mode projet, et de ne pas oublier dans la boucle les associations dans ce travail. Ça va permettre très rapidement de voir l’intérêt de ce logiciel en lien justement avec les besoins des agents et des associations.
Pourquoi venez-vous au Club Utilisateurs MGDIS ?
Ça me permet de me rendre compte du champs des possibles notamment aujourd’hui concernant les interfaces. Je pense donc à l’ interface avec Dauphin – Aiden Hub – ou l’interface avec le logiciel des délibérations AIRS Délib de Digitech. Ça me permet donc aussi de me mettre en lien avec d’autres collectivités et de continuer justement le benchmarking auprès de ces dernières afin d’en tenir compte dans les différentes décisions que l’on prend.